Barclays met un frein sur les prêts immobiliers
30 décembre 2010 - par Fabien Meran
Barclays France (voir la banque en ligne barclays.fr) diminue drastiquement les acceptations de prêts immobiliers.
La décision vient de la maison mère anglo-saxonne qui a décidé d’endurcir très fermement l’octroi de crédits immobiliers. Et la filiale française doit se plier à cette décision.
Il faut dire que dans le cas de couples prenant un crédit immobilier auprès d’une banque classique ou d’une banque en ligne, il faut environ 10 ans pour que l’organisme bancaire rentre dans ses frais. Des périodes parfois longues pour des stratégies financières mises en place par certaines banques.
Et la Barclays ne souhaite pas attendre autant.
Un compte-goutte de crédits immobiliers qui reflètent donc une volonté de filtrer par le haut la clientèle de la banque britannique. Même des salaires de couples de 7.000 euros ne font plus accepter des crédits immobiliers.
Et si le crédit immobilier reste un des produits phares pour conquérir et fidéliser des clients sur le long terme (les français sont connus pour être fidèles à leurs banques), la Barclays a décidé de ne plus rentrer dans la guerre des prix. Elle continue cependant à permettre l’accès à la propriété, d’une manière beaucoup plus filtrée.
Il faut dire que dans le cas de couples prenant un crédit immobilier auprès d’une banque classique ou d’une banque en ligne, il faut environ 10 ans pour que l’organisme bancaire rentre dans ses frais. Des périodes parfois longues pour des stratégies financières mises en place par certaines banques.
Et la Barclays ne souhaite pas attendre autant.
Un compte-goutte de crédits immobiliers qui reflètent donc une volonté de filtrer par le haut la clientèle de la banque britannique. Même des salaires de couples de 7.000 euros ne font plus accepter des crédits immobiliers.
Et si le crédit immobilier reste un des produits phares pour conquérir et fidéliser des clients sur le long terme (les français sont connus pour être fidèles à leurs banques), la Barclays a décidé de ne plus rentrer dans la guerre des prix. Elle continue cependant à permettre l’accès à la propriété, d’une manière beaucoup plus filtrée.